La thérapie fermée, un élément positif selon l’APPQ

Jacques Painchaud l’admet sans détour. Devant le dossier d’un multirécidiviste comme celui de Maxime Bourassa, le président de l’Association des policières et des policiers provinciaux du Québec s’attendait à l’imposition d’une peine ferme d’emprisonnement. L’ordonnance de suivre une thérapie fermée vient toutefois apporter un élément positif.

«Il est prévu d’avoir une cure fermée de six mois, ce qui, pour nous, est très important, compte tenu du problème de toxicomanie. Ce n’est pas une sentence avec sursis, des engagements, et puis ciao bye! Il y a une cure fermée pour permettre à la personne de se reprendre en main. Si la personne a des problèmes de toxicomanie, elle ne peut être remise en liberté sans encadrement serré.»

Pour lire l’article complet du journal Le Nouvelliste, cliquez ici : Menaces contre des policiers: la prison dans la collectivité pour Maxime Bourassa (lenouvelliste.ca).