REVUES DE PRESSE

L’APPQ est fier de Pierre-Luc Mongrain, responsable du poste de la Sûreté du Québec de l’agglomération de La Tuque depuis mars 2018. En seulement 6 ans, il a gravi tous les échelons grâce à sa volonté de fer et à son travail sans relâche.

« Âgé de 42 ans, le Latuquois d’origine Pierre-Luc Mongrain est le responsable du poste de la Sûreté du Québec (SQ) de l’agglomération de La Tuque depuis mars 2018. Ce qui est frappant pour le directeur c’est qu’il a gravi les échelons pour obtenir ce titre après seulement 6 ans au sein de la SQ. »

Pour lire l’article complet de L’Écho de La Tuque/Haut-St-Maurice, cliquez ici : https://www.lechodelatuque.com/actualites/de-professeur-a-directeur-du-poste-en-6-ans/

Crédit photo : L’Écho – Patrick Vaillancourt

Les négociations entre les policiers de la SQ et Québec au point mort

«À la suite du refus de nos membres de l’entente de principe, nous avons consulté notre structure syndicale afin de bien cibler ce qui a pu constituer un obstacle à son acceptation par la majorité le 15 septembre. Fort de cet exercice, nous avons rencontré le Secrétariat du Conseil du trésor le 13 octobre dernier», confirme par écrit l’APPQ.

Selon la dernière communication interne de l’APPQ, les représentants du Conseil du trésor auraient émis certaines réserves sur les nouvelles revendications syndicales, compte tenu des négociations de la fonction publique, laquelle semble bien faire partie des enjeux de notre environnement pour la nouvelle entente de principe, écrit-on dans une infolettre datée du 18 octobre dernier.

«Le Secrétariat du Conseil du trésor nous a demandé quelques semaines afin d’évaluer nos nouvelles revendications, de même que leur position à cet égard. À ce jour, nous sommes toujours en attente de leur position.»
– extrait par écrit de l’Association des policiers provinciaux du Québec (APPQ)

Pour lire l’article complet de Radio-Canada, cliquez ici : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2024522/negociations-policiers-surete-quebec-convention-collective.

« Les statistiques présentées par l’ADPQ concernant le nombre de voies de fait sur la police sont très préoccupantes. Une démarche de sensibilisation médiatique à cette problématique est certes un pas dans la bonne direction. Encore faudrait-il que nos élus soient également au rendez-vous afin que la population en général soit conscientisée sur cet enjeu de respect de l’intégrité physique des femmes et des hommes chargés de leur protection.

Par ailleurs, trop souvent, les accusations de voie de fait à l’égard des policières et policiers sont prises à la légère et les décisions des tribunaux, trop clémentes, contribuent à l’accroissement du phénomène. Des changements s’imposent! », Jacques Painchaud, président.

Pour lire l’article du Journal de Montréal en lien avec les statistiques du rapport présenté par l’ADPQ, cliquez ici : https://www.journaldemontreal.com/2023/11/03/six-policiers-victimes-de-voies-de-fait-chaque-jour-au-quebec.

« Quand on regarde le dossier de la personne, qui est multirécidiviste, on pouvait plutôt s’attendre à une peine d’emprisonnement. »

Notre président, M. Jacques Painchaud, a accordé une entrevue hier à TVA concernant le dossier d’un multirécidiviste qui a menacé des policiers. Il est question, entre autres, des mesures qui doivent être prises pour assurer la sécurité des policiers et de la population.

Pour écouter l’entrevue, veuillez cliquer sur ce lien : https://www.youtube.com/watch?v=D94oyzcwhHQ.

 

La thérapie fermée, un élément positif selon l’APPQ

Jacques Painchaud l’admet sans détour. Devant le dossier d’un multirécidiviste comme celui de Maxime Bourassa, le président de l’Association des policières et des policiers provinciaux du Québec s’attendait à l’imposition d’une peine ferme d’emprisonnement. L’ordonnance de suivre une thérapie fermée vient toutefois apporter un élément positif.

«Il est prévu d’avoir une cure fermée de six mois, ce qui, pour nous, est très important, compte tenu du problème de toxicomanie. Ce n’est pas une sentence avec sursis, des engagements, et puis ciao bye! Il y a une cure fermée pour permettre à la personne de se reprendre en main. Si la personne a des problèmes de toxicomanie, elle ne peut être remise en liberté sans encadrement serré.»

Pour lire l’article complet du journal Le Nouvelliste, cliquez ici : Menaces contre des policiers: la prison dans la collectivité pour Maxime Bourassa (lenouvelliste.ca).