Violence extrême, quarts de travail de 24 heures, chocs post-traumatiques. Voilà ce qu’endurent les policiers dépêchés sur des opérations d’envergure comme celle lancée la semaine dernière pour contrer la guerre des stupéfiants dans l’est du Québec. «À un moment donné, il y a un coût humain», signale le président de l’Association des policières et policiers provinciaux du Québec (APPQ), Jacques Painchaud.